|  La chaine
        d'amour  L'injustice
         apparente qui règne sur la terre
         
         
         Conduit tout
         doucement pas à pas vers l'enfer.
         
         
         Perfectionnons
         à notre façon un doux monde
         
         
         Otons de notre
         coeur toute pensée immonde.  Le vrai amour
         humain tient à si peu de chose:
         
         
         Un sourire,
         une caresse, une gerbe de roses
         
         L'émerveillement soudain d'un bonjour
         du matin,
         
         La tendresse
         épanouie de mille petits câlins
         
         
          
         
         La justice est
         latente au fond des coeurs humains
         
         Faites jaillir
         le pardon, n'attendez pas demain
         
         Vous souhaitez
         évoluer sur une terre d'amour?
         
         
         Assemblez les
         "maillons" d'une chaine d'amour.
         
          
         
         Marie France
         Pavard ©2003  Tableaux de l'auteur ©2003
         
         ***
         
          
         
          
         
         Mon soleil
         s'est levé
  Quand dans mes
         nuits si blanches où frissonne le noir
         
         
         Quand dans mes
         rêves éteints je dessine l'espoir
         
         
         Tu
         résonnes en ma vie comme un brûlant
         bonheur
         
         Et mon
         désir si fort fait tréssaillir mon
         coeur  Mes souvenirs
         dénudent un passé corrompu
         
         
         Où j'ai
         vécu sans ombre et comme une âme en
         peine
         
         Et tu me
         semlais là à désarmer ma
         haine
         
         En
         construisant la vague où la mer se sent
         nue  J'ai
         brûlé des armées de mortelles
         souffrances
         
         Où les
         échecs ont mis ma vie en transhumance
         
         
         J'ai fondu les
         trésors d'un arc-en-ciel morbide
         
         
         Pour diluer en
         moi cette terreur du vide  Je ne veux pas
         courir derrière les chimères
         
         
         Mon temps
         s'est délité en années de
         galère
         
         Le soleil
         s'est levé sur mon nouveau royaume
         
         
         C'est toi que
         je choisis pour devenir mon homme..
         
          
         
         Marie
         
          
         
         Marie France
         Pavard ©2003
         
         *
         
         Ce n'est
         pas pour devenir écrivain qu'on écrit. C'est pour rejoindre en silence cet amour qui manque
         à tout amour...
         
         Christian
         Bobin
 (La Part Manquante)
         
         *
         
         Le voile de la
         vie
  Faire revenir
         en mémoir les contes de nos nourrices
         
         
         Etendre sur
         nos erreurs le voile de la vie
         
         Le temps, le
         lieu où la magie semblent complices
         
         
         Restons la
         proie de ces tourbillons de folie
         
         De tels
         rêves en nous ne restent pas sans charme
         
         
         Nous voyageons
         ainsi à travers les obstacles
         
         
         On
         s'éloigne de la terre, on prend l'amour pour
         arme
         
         Protègés comme l'ostie au fond
         du tabernacle!...........  M@rie
         
          
         
         Des regards
         triomphants sur des jours à venir
         
         
         Ton sourire
         grâcieux qui tue les souvenirs
         
         
         J'étais
         condamnée, accrochée au supplice
         
         
         Et tu as fait
         de moi, de tes yeux, leurs iris.  Je nourris les
         idées d'escalader le ciel
         
         Pour atteindre
         avec toi le degré arc-en-ciel
         
         
         Le voile est
         une grâce, posée sur nos silences
         
         
         Un baume
         délicieux sur notre amour, panse!  Paisibles
         intérieurs, sentiments
         élevés
         
         Dans un hymne
         sans fin, destin favorisé
         
         Des rires
         épanouis, la tourmente fièvreuse
         
         
         Dominance; ta
         tendresse généreuse  Une bizarre
         influence s'élance de ton coeur
         
         
         Possède
         mon esprit, mon âme et ses couleurs
         
         
         Bénédiction du ciel, tu
         chemines en ma foi
         
         Extirpant les
         épines de mon chemin de croix!  M@rie |