ARCHIVES
Vous pouvez consulter aussi la rubrique "INFOLIENS"
dans le menu des "Dossiers Arciel88"
Vous pouvez également consulter les parcours différents de la
pensée dans notre rubrique générale "PHILOSOPHIE"
...et un peu partout dans ce site, touffu pour certains,
trésor de découvertes pour les amis habitués et plus
assidus!!!
*
Taille la vigne de ton " MOI" et
tu donneras une abondante récolte, appréciée de tous.
- Pierfetz
La chance est un don de Dieu, et elle est proportionnelle à notre volonté de bien agir envers les autres, en toute situation. Merci Seigneur.
"CARPE DIEM"
Pour voir clair dans ton âme, il est important de renoncer à ton histoire personnelle.
Tu ne dois pas te raccrocher au passé.
Vis l'instant présent et accepte la réalité telle qu'elle est.
C'est cela ton nouveau printemps. P.F.
***
Couper à moitié est une impossibilité,
à bien y penser; soit on coupe, soit on ne coupe pas, il n’y
a pas d’entre-deux.
De la même façon: si on hésite entre écouter le
105,7 et le 107,3 et qu’on reste entre les deux stations, on se retrouve
dans un no man’s land et ça nous griche entre les deux oreilles,
jusqu’à ce qu’on prenne notre décision.
C’est désagréable et fatigant de vivre dans l’indécision,
entre le oui et le non.
On parle souvent de prendre une «bonne décision»,
ce qui nous amène à chercher la meilleure des options. Mais
dites, et si une bonne décision était aussi une décision
qui a été prise de la bonne façon?
J’entends par là avec aplomb. Car même si on a le meilleur
des plans, il sera ruiné par une attitude «molle» et hésitante.
C’est la fermeté de notre engagement et de notre assurance qui
donne leur pouvoir à nos actions.
Il n’est pas question ici de précipiter les choses,
mais d’être prêt à trancher lorsque le moment est
venu.
Au fond de vous, vous savez quelles décisions vous êtes appelé
à prendre ces temps-ci . Comme des fruits mûrs, elles attendent
d’être cueillies.
Vous pouvez le nier, vous pouvez vous changer les idées, vous pouvez
trouver des arguments tout à fait logiques qui justifieraient d’attendre
un peu plus longtemps avant de trancher...
Mais vous pouvez aussi vous simplifier la vie et sortir vos gros ciseaux musclés.
Vous faire confiance, finalement, et vous ranger de votre côté.
On dit souvent: «Branche-toi!» Branchez-vous, effectivement…
Mais je veux dire par là: branchez-vous pleinement à la force
de vos décisions, quelles qu’elles soient; faites un avec elles.
Le «noui» peut sembler bien attrayant, sécuritaire et joli,
mais c’est dans nos «ciseaux» que se trouve la magie.
Marie-Pierre
***
LES LETTRES DE MON AMIE MARIE-PIERRE (MATIN MAGIQUE)
Les dernières parues sont mises en tête à chaque réception! Cliquez sur les titres numérotés.
*
PENSEES EN VRAC
«La sécurité
est en général une superstition.
Elle n'existe pas dans la nature et les êtres humains, dans l'ensemble,
ne la connaissent pas.
Éviter le danger n'est pas plus sain à la longue que de s'y
exposer carrément.
La vie est soit une aventure audacieuse, soit rien du tout.»
– Helen Keller
*
Les plus grandes joies sont effectivement souvent précédées
des plus grands défis, comme vous l’avez probablement découvert
aussi.
Non, il n’est pas toujours facile d’aller là où
on se sent appelé... Au début, on a parfois le sentiment de
marcher dans le noir.
On s’enfarge, on tombe, on craint de s’être égaré.
Mais tôt ou tard – et vous avez probablement pu le constater,
ça aussi –, une petite lumière commence à scintiller...
Puis, on réalise que c’est le soleil, en fait, qui est en train
de se lever!
Au fur et à mesure où le ciel s’éclaircit, un paysage
absolument éblouissant se révèle à nos yeux émerveillés...
Et on sourit intérieurement en se disant que la journée ne fait
que commencer. :-)
***
Préférer l'Amour à la peur
«Toute action entreprise par
les êtres humains est fondée soit sur l'amour, soit sur la peur,
et cela ne se limite pas aux relations personnelles. […]
Chacun des choix que tu fais librement, tout cela vient de l'une des deux
seules pensées possibles:
une pensée d'amour ou une pensée de peur.
La peur est l'énergie qui contracte,
referme, court, cache, entasse et blesse.
L'amour est l'énergie qui s'étend, s'ouvre, envoie, reste, révèle,
partage et guérit.
La peur enveloppe nos corps dans les vêtements,
l'amour nous permet de rester nus.
La peur s'accroche et se cramponne à tout ce que nous avons, l'amour
donne tout ce que nous avons.
La peur retient, l'amour chérit.
La peur empoigne, l'amour lâche prise.
La peur laisse de la rancœur, l'amour soulage.
La peur attaque, l'amour répare.
Chaque pensée, parole ou action humaine
est fondée sur l'une ou l'autre émotion.
Tu n'as aucun choix à cet égard, car il n'y a pas d'autre choix.
Mais tu es libre de choisir entre les deux.»
– Neale Donald Walsch, Conversation avec Dieu, Tome 1
***
Personnellement, je ne suis pas intéressée
à me trouver belle parce que j’ai de beaux cheveux ou de beaux
yeux
– tout comme je ne suis pas intéressée à trouver
les gens beaux seulement parce qu’ils ont un corps bien proportionné
ou des traits harmonieux.
Et si je m’aime, ou si j’aime les autres, je ne veux pas que ce
soit parce que je suis ou parce qu’ils sont drôles, intelligents
ou généreux...
Je ne suis pas intéressée à aimer «parce que»,
en fin de compte. C’est trop petit, trop peu; il me semble que nous
méritons mieux.
Ce qui me fait vibrer et ce que je cherche
à cultiver, c’est d’aimer pour aimer... De chérir
à la fois tout et rien en particulier.
Car l’amour inconditionnel, ce n’est pas d’aimer malgré
les défauts... C’est d’aimer à un niveau qui transcende
la notion de défauts et de qualités.
C’est juste de laisser l’amour nous habiter, parce qu’il
goûte ridiculement bon et parce qu’on refuse obstinément
d’utiliser les circonstances extérieures comme prétexte
pour se le refuser.
«Vivez,
si m'en croyez, n'attendez à demain: cueillez dès aujourd'hui
les roses de la vie.»
Ronsard
Ma première réaction,
lorsque je reçois un présent particulièrement enchanteur,
est souvent de vouloir le garder pour plus tard
Comme s'il allait devenir éventuellement encore meilleur, ou comme
si j'allais le mériter encore davantage dans quelques temps.
Une chose que j'apprends, depuis quelques années, c'est d'ouvrir
les paniers-cadeaux de la vie sans tarder.
Je pourrais parler longtemps des belles et bonnes choses que j'avais gardées
pour plus tard et qui ont été gaspillées,égarées,
ou desquelles je me suis simplement désintéressée.
En fait, j'ai compris que ce n'est pas un hasard si une ressource est placée
sur ma route aujourd'hui;
elle est mûre et prête à être cueillie. Et pas
besoin d'une occasion spéciale - Chaque jour est un jour J.
*
Mon amie MariePier m'a communiqué ces pensées..
***
Oser penser
petit…
Le pouvoir d’une chose ne se mesure pas à sa grandeur,
ou même à l’énergie qu’on y investit;
imaginez, une graine à peine perceptible peut se transformer en chêne!
Aujourd'hui, je vous invite donc à oser créer de petits mouvements
dans votre vie et dans votre esprit,
en étant conscient que le pouvoir ne réside pas seulement dans
vos actions,
mais aussi dans votre intention et dans la décision de vous dire OUI.
Il y a assurément de petites choses
que vous vous sentez inspiré à faire ou à transformer
doucement en vous-même.
Osez utiliser ces clés, même si cela vous semble trop simple
ou ordinaire… Vous verrez, elle vous donneront accès à
de merveilleux univers. :-)
****
Que faire de nos émotions ?
Qu’est-ce qui m’arrive ? Pourquoi cette tristesse qui soudain
m’envahit ? D’où vient cette colère qui me déborde
? Et cette peur qui subitement me paralyse ?
Il suffit de quelques mots, d’une image vue à la télé
ou reçue par Internet, et nos émotions, tout à coup,
s’affolent.
Avec une fulgurance incontrôlable, propre à l’ère
de l’hypercommunication. Nous vivons dans un monde du tout-émotionnel.
Des émotions collectives, qui s’emparent de nous à la
vitesse de l’information. Des émotions individuelles, qui se
disent de plus en plus.
Parler de ce que nous ressentons, de nos peines, de nos peurs, est devenu
plus facile et largement admis… C’est un progrès. Mais
attention aux excès.
Comment trouver le juste équilibre entre émotivité débordante
et hypercontrôle de soi ?
Comment apprendre à reconnaître les émotions qui nous
traversent, à les vivre et à les utiliser à bon escient
?
C’est une affaire d’intelligence émotionnelle et, une chance,
cela s’apprend.
Voir le site "PSYCHOLOGIES.COM"
*
LA VIE EST UNE VIBRATION
Toute la vie est une vibration.
Ce que vous appelez la vie est pure énergie. Cette énergie est
toujours en vibration constante. Elle se déplace sous forme d'ondes.
Les ondes vibrent à des vitesses différentes, produisant des
degrés variables de densité, ou de lumière. En retour,
cela produit ce que vous appelleriez de multiples "effets" dans
le monde physique - en fait, divers objets physiques. Mais tandis que les
objets sont différents et distincts, l'énergie qui les produit
est exactement la même.»
– Neale Donald Walsch, Conversation avec Dieu – Tome 3
Depuis des millénaires, l’eau voyage partout sur la planète sous forme de pluie, de glace et, comme c'est le cas aujourd'hui, de neige. Par le biais de différents organismes végétaux et animaux, ce précieux fluide est continuellement souillé et purifié, transformé… En fait, l’eau que vous avez bue ce matin (et celle qui compose 72 % de votre corps) a déjà été ingérée par des millions d’êtres vivants et continuera son cycle lorsque vous l’aurez à votre tour évacuée. Imaginez…
(Chaque fois que j’y pense, je suis à la fois émue et renversée.)
L’eau nous rappelle à quel point
on est profondément interconnectés. Et je ne sais pas ce que
vous en pensez, mais il me semble que cette connexion est la plus grande «ressource
naturelle» qui nous est donnée… Une ressource sacrée
que l’on peut «exploiter» allégrement sans jamais
l’épuiser.
Et si on naviguait à travers notre journée avec une intention
de connexion? Je parle ici d’un état d’écoute profond,
d’une ouverture accrue aux gens, d’un désir d’être
véritablement présent à notre environnement. Il n’est
pas question de naviguer à travers notre journée, à bien
y penser, mais plutôt d’oser y plonger complètement et
de nous «mouiller»…
*****
«Ce que
l'on crée en soi se reflète toujours à l'extérieur
de soi. C'est là la loi de l'univers.»
– Shakti Gawain
Si on a toujours cultivé des navets,
on ne sera pas étonné de trouver des navets dans notre potager,
n’est-ce pas? C’est la chose la plus naturelle qui soit.
De la même façon: si on a toujours cultivé des «je ne peux pas» dans notre esprit, il est tout à fait naturel que l’on récolte beaucoup de «pas possible» dans notre vie. Or, ces «navets» ne constituent pas des vérités avec un grand V, ou des fatalités, mais bien simplement le germe des graines que l’on a (involontairement) semées. Ils ne sont pas la bande-annonce de notre avenir, mais l’écho du passé.
Mon message pour vous aujourd’hui est: ne prenez pas les navets trop au sérieux. Vraiment, cuisinez-les du mieux que vous le pouvez, le temps que vous en avez... mais ne les laissez pas conditionner vos actions, vos visions et vos idées. Portez toute votre attention sur ce que vous désirez récolter, plutôt, et cultivez-le amoureusement – dans le terreau de votre esprit, bien sûr, pour commencer.
La véritable liberté…
****
Citations envoyées par mon amie Marie Pier
«Courbe-toi et tu demeureras droit. Vide-toi
et tu demeureras plein. Use-toi et tu demeureras neuf.»
– Dao De Jing
*
«La vie engendre la vie. L'énergie
produit l'énergie.
C'est en se dépensant soi-même que l'on devient riche.»
– Sarah Bernhardt
«Nous atteignons la plus grande réussite
et le plus grand bonheur possible
à chaque fois que nous utilisons nos capacités naturelles à
leur plus haut niveau.»
– Smiley Blanton
«Je rêve d’accomplir une
tâche grande et noble,
mais mon devoir principal est d’en accomplir de petites comme si elles
étaient grandes et nobles.»
– Helen Keller
«Ce
que l'on crée en soi se reflète toujours à l'extérieur
de soi.
C'est là la loi de l'univers.»
– Shakti Gawain
***
«Dans la
semence de votre désir se trouve tout ce qui est nécessaire
à sa concrétisation.
Votre travail est simplement de lui offrir un sol fertile dans lequel il peut
grandir.»
– Abraham-Hicks
Dès que l’on émet un souhait ou une intention, un mouvement
subtil est enclenché. Chaque fois, la graine commence à s'ouvrir
pour prendre racine.
Je ne parle pas seulement de nos désirs «officiels», c’est-à-dire ceux que l’on envoie au Père Noël au début du mois de décembre, puis que l’on déguise en résolutions au début de janvier. Non, je fais référence à ces envies qui naissent continuellement en nous, sans même que l’on ait à y penser. Lorsqu’on se sent lasse, par exemple, on souhaite immédiatement être joyeux et passionné. Lorsqu’on manque de quelque chose, on aspire naturellement à en avoir assez.
Ces «poussées intérieures» sont la force qui fait couler la rivière de notre vie… et le rivière de LA vie. Car ce n’est pas exclusif aux humains, tous les organismes vivants évoluent ainsi. La nature tend toujours vers le mieux; elle s’équilibre, elle grandit, elle se renouvelle, elle se guérit. Ma foi, on m’a appris que les roches et les cristaux grandissent eux aussi au fil du temps – même si c’est bien sûr à un rythme très, très lent! Il y a constamment une «envie» de plus, un mouvement d'expansion. Et la même énergie qui amène les graines à germer et les bourgeons à éclore chaque année peut nous amener, nous aussi, à nous déployer. C’est l’ordre naturel des choses; nous sommes faits pour éclore, nos souhaits sont faits pour devenir réalité.
Notre rôle n’est donc pas de «demander» assidûment et de pousser… Notre rôle est plutôt de nous décrisper, de permettre aux choses d’entrer – ou de semer nos désirs dans une terre saine, si vous préférez. Notre rôle est d’oser embarquer sur la vague que nos souhaits ont créée. Notre rôle est de devenir la «vraie» version de nous-mêmes.
*
Pour les amis qui désirent une référence plus ancienne, je citerai cette autre idée de semence: Marc-4,26-34
Un homme qui jette le grain dans son champ
:
nuit et jour, qu'il dorme ou qu'il se lève, la semence germe et grandit,
il ne sait comment.
D'elle-même, la terre produit d'abord l'herbe, puis l'épi, enfin
du blé plein l'épi.
Et dès que le grain le permet, on y met la faucille, car c'est le temps
de la moisson.
Il est comme une graine de moutarde : quand
on la sème en terre, elle est la plus petite de toutes les semences
du monde.
Mais quand on l'a semée, elle grandit et dépasse toutes les
plantes potagères ;
et elle étend de longues branches, si bien que les oiseaux du ciel
peuvent faire leur nid à son ombre. »
***
La façade d'une maison n'appartient
pas à celui qui la possède,
mais à celui qui la regarde.
- Lao Tseu
«Et si vous pouviez garder votre
cœur en émerveillement devant les miracles quotidiens de votre
vie,
votre douleur ne vous semblerait pas moins merveilleuse que votre joie.»
– Khalil Gibran
«La sagesse, c'est d'avoir des
rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les
poursuit.»
– Oscar Wilde
***
«J’ai accepté la
peur comme une partie de ma vie, particulièrement la peur du changement…
J’ai continué la route malgré les battements sourds de
mon cœur qui disaient: "Fais demi-tour".»
– Erica Jong
Comme le dit mon brillant ex-poisson,
le changement est dépaysant et inconfortable – même lorsque
c'est pour le mieux.
J'avancerais même qu'il est impossible de mordre dans la vie et de devenir
tout ce que nous pouvons être
si nous refusons de perdre occasionnellement nos points de repère.
Croître, c'est passer du connu vers l'inconnu, et l'inconnu est TOUJOURS
une aventure.
Ainsi, lorsque vous vous apprêterez à plonger dans votre océan,
prévoyez d'être désorienté quelques temps et faites
la paix avec cette éventualité. C’est normal.
Ne pensez-vous pas que le papillon se sent un peu perdu, lui aussi, fraîchement
sorti de son cocon?
***
Lorsqu’on
pense à se lancer dans une grande aventure, on imagine généralement
des périples exotiques ou des actions spectaculaires
. Or, les actes les plus courageux (et les plus importants) sont souvent étonnamment
simples...
C’est ce qu’ils représentent pour nous qui est incroyablement
grand, puissant, extraordinaire.
Choisir d’être doux envers soi-même.
Savourer notre journée plutôt que de se laisser engourdir par
notre désir de productivité. Dire la vérité.
Dans quelle «grande aventure» vous lancerez-vous en cette belle journée?
***
«Les plus grandes aventures
sont intérieures.»
– Hergé
*
«Ce ne sont pas les
événements de leur vie qui troublent les humains, mais les idées
qu’ils s’en font.»
– Épictète
***
«Si
vous voulez ressentir la paix, devenez la paix.»
– James F. Twyman
Lorsqu’on est bouillonnant de stress ou de frustration, notre
réflexe est généralement de chercher immédiatement
des façons d’agir sur la cause apparente de ces émotions.
Et on finit souvent par tourner en rond, malgré nos bonnes intentions,
car on est tellement imprégné du problème que l’on
ne peut entrer en résonance avec les solutions. On est, en quelque
sorte, du mauvais côté de l’équation.
On transforme les événements non pas en réagissant aux problèmes, mais en vibrant immédiatement l’essence de la solution – sans intermédiaire. Chaque fois que l’on cherche un chemin vers la paix tant recherchée, on fait les choses à l’envers... Car c’est la paix qui est le chemin vers la solution. En fait, elle est la solution, car tout ce que l’on créera dans cet état en sera l’expression.
Quoi que l’on désire changer, la première chose à faire n’est donc pas une chose à faire, mais à être... Le chemin vers la joie est la joie. Le chemin vers l’abondance est l’abondance. Le chemin vers la sérénité est la sérénité. Notre monde extérieur ne peut tout simplement pas nous donner ce qu’on ne s’accorde pas en premier. Ou si vous préférez: notre monde extérieur nous reflètera toujours fidèlement et généreusement tout ce que l’on décide de vibrer...
Le mantra du jour: «À l’intérieur en premier».
Bonne journée! :-)
***
«Si je devais recommencer ma
vie, je n'y changerais rien.
Je ne ferais qu'ouvrir un peu plus les yeux.»
– Jules Renard
*
«Le
mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur
fidèle.
Nous avons créé une société qui honore le serviteur
et a oublié le don.»
– Albert Einstein
***
Pour lutter contre les effets pervers
du surtravail et de la surconsommation,
il suffit de s’engager dans une démarche de simplicité
volontaire.
La simplicité volontaire n’est
pas une fin,
mais un moyen pour ramener sa consommation à un niveau plus cohérent
avec ses vraies valeurs,
pour pouvoir choisir parmi ce qui est offert, dans le sens d’un épanouissement
véritable.
LES BULLETINS DE PLANETE QUEBEC
***
OPTIMISME OU PESSIMISME?
Quand une chose nous tient à cœur, notre premier réflexe est souvent d’avoir recours au panneau de gauche, n'est-ce pas? On regarde les conséquences d’un échec potentiel, la déception qui nous habitera si on ne réussit pas… On utilise la peur pour se motiver à créer un mouvement, finalement. Si on veut perdre du poids, par exemple, on réfléchira aux kilos que l’on prendra si on ne fait pas assez d’exercice et si on mange excessivement. On pensera peut-être aussi à la culpabilité qui nous grugera – oh, et que l’on se promet de cultiver abondamment – si l’on ne respecte pas notre plan. Sinon, comment pourrait-on atteindre notre but, n’est-ce pas?
Personne ici ne jugerait une telle approche saine et constructive. Or, bien que l’on voie tous clair dans ce mécanisme, en théorie, la tentation peut être tellement forte d’utiliser la douleur comme source de motivation. Plutôt que d’avancer allégrement vers ce que l’on désire, on pousse contre ce que l’on ne veut pas. Plutôt que de se brancher sur la beauté de notre vision, on se laisse piquer par les images de défaite et de déception. Comme si on devait craindre ce que l’on ne veut pas pour obtenir ce que l’on veut… Comme si on devait avoir une image très claire et épouvantable de l’échec pour ne pas y succomber. Apparemment, la prémisse est qu’on ne peut pas tout avoir, qu’il faut se faire un peu de mal pour avancer.
On peut tout avoir. On peut réussir sans avoir peur de tomber. On peut cultiver la santé sans craindre la maladie. On peut atteindre notre poids désiré sans détester l'obésité. On peut être amoureusement prudent sans avoir besoin de penser aux accidents. Non seulement le peut-on, mais c’est la façon la plus gracieuse, la plus saine et la plus magique (il fallait bien que j’écrive le mot «magique» au moins une fois!) de s’accomplir et de contribuer. C’est ainsi que l’on est supposé vivre, en fait… Rien d'autre ne peut vraiment fonctionner.
Évidemment, il y a des millions de personnes qui ont réussi à accomplir des choses avec la pancarte de gauche. Cela dit, quoi que l’on réalise dans cet état d’esprit, on en sort toujours perdant, à mon avis. Oui, la peur peut parfois créer un mouvement apparemment positif (au prix de souffrances et de sacrifices). Oui, elle peut faire bouger les choses (même si les changements qu’elle provoque sont généralement superficiels et extrêmement fragiles). Mais le gros problème, lorsqu’on utilise la peur comme moteur, est qu’elle ne nous lâche pas d’une semelle même lorsqu’on arrive à destination. On vit donc dans un climat de tension, et même nos plus belles réalisations ne sont fondamentalement que de jolies prisons.
Récemment, plusieurs matin-magiciens ont évoqué sur ma page Facebook la grande douceur de mes textes et de mon approche en général. C’est effectivement ce que je souhaite communiquer, plus que toute autre chose. Cela dit, je ne prône pas la douceur comme on prônerait du chocolat, juste parce que c’est délicieux et satisfaisant. Non, si elle est au cœur de tout ce que vis et écris, c’est parce qu’elle est la plus grande force qui soit – la seule véritable force, en fait, à mon avis. Oh, et il s’avère qu’elle est incroyablement délicieuse et satisfaisante, aussi.
Ainsi, «vivons avec amour» aujourd’hui. ;-)
Bonne journée!
***
IDENTITE
?