|  LA RENTREE  Quand on y pense
         
         que serait l'été
         
         
         sans la souffrance 
         
         de se quitter
         
         quand vient septembre
         
         
         et la Rentrée.
         
         
         Eloix http://eloix.tripod.ca
         
         *****
         
         Tandis que
         l'été peint le ciel de ses couleurs
         
         
         et
         qu'août en mûrit les douceurs
         
         
         les grillons
         aux soirs se font chorales
         
         et les
         lucioles des étoiles.
  Nuits humides
         où les amours s'éternisent
         
         
         Soirées
         lascives où les baisers furtive(nt)
         
         
         L'été
         s'étiole
         
         les colombes
         s'élèvent, s'envolent  A propos des
         Pensées hebdo de Pierrot... Une belle pensée Pierre,
         
         Éloix
         
         
         *********
         
         
         LA RENTREE
         
          
         
         L'été sommeille
         
         
         déjà la veille
         
         
         du dernier
         soir, du dernier jour,
         
         d'une belle
         histoire, d'un amour,
         
         adieu Amie
         !
         
         je t'ai
         aimé !
  L'été ensoleille les matins
         frisquets
         
         Bientôt septembre
         
         
         Les matins
         gris inquiets
         
         Des belles
         histoires, des amours de cendre
         
         Adieu Ami
         !
         
         Je t'ai
         aimé !  Quand on y
         pense
         
         que serait
         l'été
         
         sans la
         souffrance 
         
         de se
         quitter
         
         quand vient
         septembre
         
         et la
         Rentrée.  Telle est
         ta loi, été
         
         Des amours
         composées
         
         Sous ta
         bienveillante chaleur
         
         De se
         quitter, il est l'heure
         
         Quand vient
         septembre
         
         C'est la
         Rentrée !    Que seraient
         vacances
         
         sans
         romances,
         
         que seraient
         dimanches
         
         sans une
         danse,
         
         que seraient
         les feux
         
         sans
         être deux.  Dis, si on
         prenait des vacances
         
         Tout
         l'année
         
         Ça
         serait dimanche, romances
         
         À
         jamais
         
         Ainsi, les
         feux de nos yeux
         
         De nos
         corps, ensemble tous deux    Le
         croirais-tu
         
         belle
         ingénue
         
         que je te
         dise
         
         sans sottise
         :
         
         je n'ai
         vécu tout ces 10 mois
         
         que pour ces
         deux où tu es là.  Et moi qui
         t'attendais
         
         Dans mes
         automnes et mes hivers
         
         Au
         printemps venu, c'était hier
         
         
         Encore, je
         te cherchais
         
         C'est
         à l'été
         
         Que je t'ai
         enfin retrouvé.    Qu'importe
         demain
         
         jour sans
         lendemain
         
         s'il est
         départ,
         
         veille des
         trop tard,
         
         j'aurai vu
         l'aube dans mon coeur
         
         des plus grand
         jours, du bonheur.  Tu sais,
         les demains
         
         Je m'en
         arrange assez bien
         
         S'il y a
         départ ce jour
         
         Il y aura
         retour
         
         De nos
         heures bleues et dans nos coeurs
         
         
         Reste
         à cueillir grands jours et bouquets de
         fleurs.  Éloix Ode ( en toute
         amitié-complicité )
         
         ****
         
         Confidences, dans l'aube
         naissante tes mots brisent le silence comme le murmure du
         ruisseau qui doucement s'éveille aux clapotis des
         oiseaux venus y faire leurs ablutions matinales...
         
         
         Éloix ( en merci
         à Pierre ) |